VISITE DES COULISSES DE L’OPÉRA BASTILLE

par Mme Frey

Vendredi 18 Mai 2018 la classe de 4è2 s’ est rendue dans le 12è arrondissement de Paris pour visiter le plus grand opéra du monde (Camille).
C’ est en 1982 que François Mitterrand a décidé de sa construction ; cette salle qui offre 2 703 places est inaugurée en 1989 lors du bicentenaire de la prise de la Bastille (Clara).
Du haut, nous surplombons le vide, attention à ceux qui ont le vertige (Yannis).
Un guide passionné et drôle nous abreuve de chiffres, évoquant des mètres de couloirs, de nombre d’ escaliers (Aurore) , du prix des places (Emma)- de 40 à 200 €- le confort est le même pour chaque spectateur, quel que soit le prix du billet d’entrée (Baptiste).
Parlons acoustique : pas d’amplification du son, seule la fosse d’orchestre est rétractable suivant le nombre des instruments jouant pour chaque production.
Le toit éclairé et onduleux (Gabin) a été pensé de longue date pour sa fonction réfléchissante, l’architecte a dû y passer des heures à imaginer l’effet produit (Auxence).
L’utilisation du téléphone portable nous autorise à prendre des vues des décors, pas des personnes (Lawrens).
Nous montons sur la scène, moment important (Mehdi) et nous nous rendons compte du travail des techniciens nombreux, pour préparer les représentations du soir (Aurore).
On n’imagine pas tous les métiers qui contribuent à la réalisation d’un opéra (Idris).
Derrière se trouvent les arrière-scènes où se réalisent à l’avance, à partir de dessins, de plans, de maquettes, les décors des prochaines productions, lesquelles au millimètre près doivent pouvoir être stockées dans un container, qui voyagera autour du monde.
Parmi le personnel embauché, on compte des anciens serruriers, menuisiers, personnel issu de la conception mécanique, de bureaux d’ architecture (Kayllia).
Ce magnifique édifice est bâti sur la Seine que l’on entend, si proche (Alexandre).

Sortie intéressante du fait d’ apprendre sans bureau ni leçons (Daphnée et Inès).
Un regret, celui de n’avoir pas assisté à une représentation (Hugo L.).
Dommage également que la présentation des coulisses de Bastille n’inclue la découverte ni des costumes ni des maquillages (Alia).